Psychologue clinicien & psychanalyste - Albi (Tarn)
Psychothérapie analytique, thérapie comportementale et cognitive (TCC),
et soutien psychologique
Je vous accompagne pour mettre en place les changements concrets que vous souhaitez voir dans votre vie, grâce aux outils de la psychothérapie analytique et de la psychologie. Mon approche multidisciplinaire s'adapte à chaque personne et vise à faire du processus thérapeutique une expérience transformatrice pour vous donner les moyens de vous prendre en charge.
Mon travail consiste à vous encourager à écouter vos émotions et vous aider à trouver en vous vos propres réponses, mais aussi à conceptualiser vos souffrances d'une manière qui vous permet de mieux les comprendre afin de découvrir qui vous êtes, ce que vous recherchez, ce qui est possible et ce qui ne l'est pas, ce qui peut être changé et ce dont il faut savoir faire le deuil.
- Dépression, troubles anxieux
- Stress, burn-out, PTSD
- Troubles du comportement alimentaire
- Difficultés dans l’affirmation ou l'estime de soi
- Phobies, troubles obsessionnels compulsifs
- Evénements de vie difficile (deuil, séparation, …)
Claude Lefort - Psychologue & Psychanalyste
Psychologue clinicien diplômé en psychopathologie clinique et psychologie cognitive (MSc), Psychanalyste et Coach Relationnel, je reçois les adultes en quête d'aide psychologique pour un suivi thérapeutique d’orientation analytique, de soutien ponctuel de type counseling, de thérapie de couple, ou de psychothérapie TCC brève .
Paroles de Psy
Extirper ses maux par les mots, mieux comprendre la psychothérapie.
Pourquoi consulter un psy?
Comment surmonter la dépression
Comment harmoniser une relation d'attachement anxieux-évitant
Dépression
Anxiété
Troubles de l'alimentation
Gestion du deuil
Stress post-traumatique
Test psychométrique de l'autisme adulte
Problèmes relationnels
Phobies
Troubles obsessionnels compulsifs (TOC)
Psychothérapies brèves
Le but des psychothérapies brèves est de traiter les symptômes d'une souffrance sur une durée relativement courte. Ces thérapies s'intéressent davantage à la manière dont un problème va être résolu plutôt qu'à ses causes et origines, la priorité étant donnée à soulager la souffrance.
Thérapies cognitives et comportementales
Les psychothérapies cognitivo-comportementales (TCC) sont des techniques thérapeutiques brèves qui visent à modifier des pensées et des comportements négatifs ou dysfonctionnels afin de favoriser des réactions adaptées et atténuer les symptômes d'une souffrance psychologique. Elles sont efficaces pour traiter les troubles anxieux, la dépression, les dépendances, les phobies et les troubles de l'alimentation.
Counseling, ou entretien de soutien psychologique
Le counseling est une forme d'entretien de soutien psychologique qui répond aux besoins ponctuels de ceux qui cherchent une aide psychologique pour résoudre, dans un temps relativement bref, des problèmes qui ne relèvent pas nécessairement d'une pathologie propre. Ces problèmes peuvent être liés à des contraintes ou à un contexte relationnel spécifique auquel vous devez vous adapter sans vous y sentir préparés.
Il n'y a que deux raisons pour lesquelles les êtres humains changent. Soit la douleur de rester le même est si grande qu'ils doivent changer, soit ils ont une vision de quelque chose de meilleur.
Thérapies psychanalytiques
La thérapie psychanalytique est une méthode dans laquelle, contrairement aux idées reçues, le patient joue un rôle actif et qui a pour objectif de traiter le mal-être que chacun peut rencontrer un jour dans sa vie. Selon les personnes et les circonstances, ce mal-être peut se manifester dans les domaines psychologique, somatique, existentiel, affectif, relationnel ou social.
Psychanalyse
La psychanalyse découle du constat que nous sommes souvent inconscients des facteurs déterminant nos émotions et comportements. Ces facteurs inconscients refoulés peuvent être la cause d'une profonde souffrance, que l'on reconnaît dans certains symptômes et dans certains traits conflictuels de la personnalité, les difficultés au travail, les relations intimes, ou encore dans les troubles de l'humeur et de l'estime de soi. Le travail psychanalytique cherche à explorer le rôle de ces facteurs inconscients sur les relations et les comportements, à comprendre leurs origines historiques et de quelle manière ils se sont développés, et ainsi à aider l'individu à mieux faire face aux réalités de la vie.
Thérapie Psychodynamique
La psychanalyse freudienne a inspiré le développement de nouvelles psychothérapies de type analytiques qui partagent avec elle les mêmes repères théoriques, mais assouplissent la méthode thérapeutique pour la rendre moins contraignante. En psychothérapie psychodynamique, le psychothérapeute aide le patient dans son introspection à analyser et interpréter les conflits inconscients réactivés au cours de la thérapie, tout en intervenant davantage qu'en psychanalyse. Cette technique vise surtout l’amélioration symptomatique dans un cadre clinique plus précis, mais elle peut aussi contribuer à un changement profond et durable du bon fonctionnement psychique et des relations interpersonnelles.
Le Premier ENTRETEN
Prendre un premier rendez-vous avec un "psy" est souvent une étape difficile à franchir mais qui marque un engagement dans une volonté de changement qui découle d'un besoin :
- La reconnaissance d’une profonde difficulté ou d’une souffrance face à laquelle on ne peut plus avancer seul(e).
- La prise en compte d’émotions douloureuses ou de schémas répétitifs (anxiété, dépression, solitude, manque d’estime de soi, troubles du comportement alimentaire, pensées obsessionnelles…).
- Un processus d'accompagnement face à des situations présentes marquant une transition dans la vie (changement professionnel, grossesse, PMA, mariage, séparation, deuils, milieu de vie…)
- Le besoin de remettre votre vie en adéquation avec votre désir, et de ne plus sentir en situation d'échec (vie professionnelle, vie privée, vie sentimentale, avec vos enfants, vos amis).
- Le désir d’une meilleure connaissance de soi ou une recherche de sens, sans savoir vers quelle forme de thérapie vous orienter.
Questions fréquentes
Ce qu'il est utile de savoir avant de consulter un professionnel de la santé mentale et de commencer un travail psychothérapeutique.
Quelles sont les différences entre psychiatres, psychologues, psychothérapeutes et psychanalystes ?
Les psychiatres ont une formation médicale. Ils sont donc orientés vers l'entretien clinique à visée diagnostique de psychopathologies et sont les seuls à pouvoir prescrire des médicaments. Certains psychiatres ont aussi une formation psychanalytique, mais en règle générale, peu de psychiatres font de la psychothérapie.
Les psychologues ont suivi un enseignement universitaire de psychologie avec une spécialité qui peut être clinique (psychopathologie), ou n'avoir rien à voir avec la santé mentale (psychologie sociale, cognitive, développementale, organisationnelle, etc.). Certains psychologues ont également une formation psychanalytique, mais tous ne sont pas formés en techniques psychothérapeutiques
En France, le titre de psychothérapeute est réservé aux psychologues ou aux psychiatres recouvre des compétences techniques très diverses (thérapies corporelles, thérapies cognitives et comportementales, analyse transactionnelle, gestalt, psychodrame, thérapie familiale systémique, hypnose, EMDR...).
Les psychanalystes travaillent sur la découverte de l'inconscient et de ses modes d'expression (symptômes, somatique, rêves, scénarios de répétition...), reposant sur les structures du langage. La formation pour devenir psychanalyste est réglementée par l'Association internationale de psychanalyse (IPA) et ces organisations constituantes. Un psychanalyste peut ne pas avoir une formation de psychiatre ni de psychologue, et le titre de psychanalyste n'est pas réglementé par l'État français. Les psychanalystes suivent généralement une triple formation: un cursus théorique (diplôme universitaire de 3e cycle), une formation de psychopathologie et une expérience clinique, et leur propre analyse suivie d'une formation théorique à la psychanalyse de type freudienne, lacanienne ou jungienne. Ils accomplissent un travail continu de recherche, et ont mis en place un contrôle de leur pratique.
À quoi servent les thérapies de type analytiques ?
La psychanalyse et la psychothérapie psychodynamique s'adressent à ceux qui se sentent pris dans des problèmes psychiques récurrents et anciens qui entravent leur potentiel de bonheur avec leurs partenaires, familles et amis, ainsi que la réussite et l'épanouissement dans leur travail et les tâches normales de la vie quotidienne.
La thérapie analytique est une cure de parole, basée sur la méthode de la libre association. Dans sa règle fondamentale, le patient est invité à dire tout ce qui lui vient à l'esprit sans restriction, comme des considérations de contexte, de décence, des sentiments de honte ou de culpabilité et d'autres objections. Le psychanalyste ne juge pas, ne conseille pas, n’évalue pas, n’interrompt pas le fil des pensées ou associations dites libres, il intervient au moment opportun afin d'interroger le désir. En adhérant à cette règle, les processus de pensée du patient établiront des liens surprenants, révéleront des connexions consciemment indisponibles aux souhaits et aux défenses, et conduiront aux racines inconscientes de conflits jusque-là insolubles.
Les angoisses, les inhibitions et les dépressions sont souvent les signes des conflits intérieurs. Ceux-ci entraînent des difficultés relationnelles et, lorsqu'ils ne sont pas traités, peuvent avoir un impact considérable sur les choix personnels et professionnels. Les racines de ces problèmes vont souvent plus loin que la conscience normale ne peut atteindre, c'est pourquoi ils s'avèrent insolubles sans psychothérapie. C'est avec l'aide d'un psychanalyste que le patient peut avoir un nouvel aperçu des parties inconscientes de ces perturbations. Parler avec un psychanalyste dans une atmosphère sûre mènera un patient à devenir de plus en plus conscient de certaines parties de son monde intérieur jusque-là inconnu (pensées et sentiments, souvenirs et rêves), donnant ainsi un soulagement psychique de la douleur, favorisant le développement de la personnalité et offrant une conscience de soi qui renforcera la confiance du patient pour poursuivre ses objectifs dans la vie. Ces effets positifs de la psychanalyse perdureront et entraîneront une nouvelle croissance bien après la fin de l'analyse.
En quoi diffèrent la thérapie psychodynamique et la psychanalyse ?
Selon l’âge, la nature des difficultés et les souhaits de la personne, on s’orientera vers une psychanalyse ou une psychothérapie psychodynamique brève.
Les approches psychanalytique et psychodynamique postulent que la découverte et la compréhension des causes inconscientes des problèmes du client vont le libérer de ses blocages névrotiques. Psychanalyse et psychothérapie psychodynamique ont une théorie freudienne commune, mais ce sont leurs objectifs et leurs méthodes qui varient: la psychanalyse vise une intégration d’un conflit inconscient refoulé ou dissocié, tandis que la psychothérapie psychodynamique, vise une réorganisation partielle de la structure psychique dans un contexte de changement important au niveau symptomatique.
La psychanalyse est une démarche qui peut parfois être longue et exigeante. L’approche psychodynamique est une alternative intéressante pour un patient répondant bien à une approche d’introspection. Elle reprend les mêmes présupposés théoriques que la psychanalyse, mais les séances se déroulent généralement en face à face (au lieu du traditionnel divan du psychanalyste), de fréquence hebdomadaire, et sur une durée qui peut se faire à court ou moyen terme. La psychothérapie psychodynamique étant plus brève, elle se concentre sur les conflits ou problèmes centraux du patient.
La psychanalyse et la thérapie psychodynamique mettent l’accent sur la dynamique intrapsychique, à savoir l’exploration de l’affect, de désirs, de rêves et de fantasmes et encouragent l’expression de l’émotion. Le thérapeute concentre son attention également sur l’exploration de la résistance du patient, c’est-à-dire des efforts du patient pour éviter certains sujets ou pour s’engager dans des activités qui retardent le progrès thérapeutique. Afin d’identifier et comprendre les schémas de pensées et les sentiments, la thérapie analytique explore les expériences passées à l’origine de ces schémas et se concentre sur les expériences interpersonnelles en mettant l’accent sur la relation thérapeutique, le transfert et l’alliance thérapeutique. C'est à la fois une méthode thérapeutique reposant sur la science de l'inconscient, et une conception éthique du sujet humain. Aller vers un psychanalyste correspond au désir de faire quelque chose pour aller mieux, mais aussi de le faire dans une recherche de vérité aux effets durables et libérateurs.
Quelle est la différence entre les thérapies cognitives et comportementales (TCC) et les thérapies dérivées de la psychanalyse ?
Les différentes approches thérapeutiques se différencient par leurs origines, leurs conceptions de la nature humaine et du rôle de la psychothérapie ainsi que par les techniques utilisées.
Les thérapies cognitivo-comportementales sont des techniques basées sur le désapprentissage des schémas cognitifs erronés et la modification des comportements dysfonctionnels. Elles visent la suppression du symptôme gênant, par exemple d’attaques de panique. Les TCC se concentrent spécifiquement sur les schémas dysfonctionnels de pensées et les émotions négatives. Les thérapeutes utilisent des techniques d’apprentissage de nouveaux schémas plus adaptés. Ils procèdent par l’analyse du schéma dysfonctionnel, puis son déconditionnement, notamment par l’exposition répétée et prolongée à la situation anxiogène.
Les TCC sont utiles dans les traitements symptomatiques et sont une alternative intéressante à une médication. Toutefois ces thérapies ne visent pas à traiter les problèmes à la racine, mais à modifier les pensées et les comportements à l’aide d’exercices spécifiques. La thérapie prend généralement fin avec la diminution ou la disparition du symptôme qui a motivé la démarche du patient.
Si les thérapies cognitivo-comportementales visent des changements symptomatiques, l’approche analytique favorise des changements plus en profondeur et plus durables de la personnalité.
Quels sont les troubles que soigne la psychothérapie analytique ?
On peut conseiller une psychanalyse ou une thérapie psychodynamique dans les situations suivantes:
- Des difficultés ou des échecs qui se répètent, dans la vie affective, sociale ou professionnelle
- Des perturbations psychiques comme la survenue d’angoisse, de dépression, de phobies, d’idées obsédantes, de troubles alimentaires, de troubles sexuels, etc.
- Un malaise existentiel persistant et inexpliqué ou des troubles de l’identité personnelle, ou troubles pathologiques de la personnalité.
- Des troubles psychosomatiques (manifestations somatiques de problèmes psychiques).
Combien de temps dure une psychothérapie de type analytique ?
Dans tous les cas, une psychothérapie repose sur une décision du patient. Pour trouver les causes de ses souffrances, l’origine d’un mal, autrement dit l’origine de ce qui fait symptôme, il devra s’engager sur une certaine durée. La fréquence et la régularité des séances assurent la continuité du processus thérapeutique.
Quel que soit le cadre thérapeutique retenu, la fréquence des séances est fixe, car cette régularité est essentielle à l'efficacité. Il faut à la fois que le discours génère sa propre dynamique et s'intègre à la réalité que le patient expérience entre les séances. Une fréquence hebdomadaire est souhaitable.
La durée de l’analyse dépend de nombreux facteurs, dont la problématique de départ et l’ampleur du travail à accomplir, les résistances au travail, les objectifs personnels de l’analysant. On considère que l’analyse est terminée quand l’analysant « ne souffre plus de ses symptômes et a surmonté ses angoisses comme ses inhibitions » et que « l’analyste juge que chez le patient le refoulé a été rendu conscient, l'’incompréhensible élucidé, la résistance intérieure vaincue, et que l’on n’a pas à craindre la répétition des processus pathologiques en question » (Freud). On comprend donc qu’un travail analytique prenne du temps. Lorsque le processus se déroule normalement, la fin de l’analyse, c'est-à-dire la fin du travail en commun de l’analysant et de l’analyste, est décidée d’un commun accord entre les deux protagonistes.
Quelle est la durée des séances ?
La durée de chaque séance est généralement de 60 minutes, mais peut être variable, cette marge permettant au thérapeute de faire place au temps subjectif, décider d'arrêter la séance sur une formulation essentielle et révélatrice, ou au contraire laisser s'achever un fil narratif qu'il serait dommage ou trop douloureux de laisser en suspens jusqu'à la prochaine séance.
Comment se déroule la première séance ?
La première séance est dédiée à la prise de connaissance et à l’identification précise de votre ou de vos problématique(s), à la fixation de vos objectifs, les modalités d’un accompagnement sur-mesure, et le type de thérapie le plus adapté en fonction du diagnostique clinique qui peut d'ailleurs nécessiter plusieurs séances. Un suivi thérapeutique est avant tout une rencontre humaine et il est important de se sentir à l’aise et en confiance avec son thérapeute.
Information sur le remboursement des séances
Le dispositif de remboursement des séances spécialisées en « psychologie » ne concerne pas les consultations privées de psychanalyse qui n’entre pas dans le contexte institutionnel décrit par le décret d’octobre 2021. En tant que psychologue clinicien je ne suis pas conventionné; les séances ne sont donc pas remboursées par la sécurité sociale, mais peuvent être prise en charge par certaines mutuelles.
Tarifs des séances
En quelle langue les thérapies peuvent elles être effectuées ?
Les thérapies analytiques peuvent être suivies en français ou en anglais en fonction de votre langue maternelle, le psychanalyste étant parfaitement bilingue.
Les consultations peuvent-elles être effectuées en ligne ?
Comme je l'ai expliqué dans un article intitulé "La psychothérapie en ligne est-elle bénéfique ou souhaitable?", je ne pratique les consultations en ligne par visioconférence ou téléconférence que dans la mesure où le patient est dans l'impossibilité de se déplacer et que le traitement a déjà commencé depuis un certain temps. C'est donc une pratique que je considère inférieure et qui doit être utilisée au cas par cas et à bon-escient.